Alan Khalili a été nommé directeur financier du fournisseur de données de reconnaissance de radiofréquence par satellites et (DaaS) et Mission-as-a-Service (MaaS). Il succède à Iain Hackston qui change de poste au sein de la société.
Kleos Space a annoncé ce mercredi par voie de communiqué la nomination d’Alan Khalili au poste de directeur financier (CFO). Comptable certifié CPA, il a plus de 20 ans d’expérience en tant que directeur financier, banquier d’affaires au Crédit Suisse, expert-comptable chez Ernst & Young et entrepreneur en technologie avec « une expertise industrielle directe dans les domaines des données en tant que service (DaaS), de l’aérospatial/satellite, de l’information commerciale, de la voix sans fil et des télécommunications IoT », peut-on lire dans le texte.
Auparavant, il a été directeur financier de SpaceLink, où il a créé les fonctions FP&A, comptabilité, RH et acquisition de talents. Il a été cofondateur et directeur financier d’Aireon LLC, une entreprise DaaS basée dans l’espace, responsable de la direction de toutes les activités financières et administratives. De 2008 à 2012, il a travaillé chez Iridium Communications, où il a géré les fonctions de développement d’entreprise, de trésorerie et de gestion des risques.
Il a également occupé des fonctions de développement d’entreprise chez NeuStar et Reuters, où il a supervisé des transactions mondiales de fusion et d’acquisition.
« Une grande valeur pour le prochain chapitre de croissance de Kleos »
M. Khalili succède à Iain Hackston, qui restera au sein de Kleos en tant que responsable de la planification et de l’analyse financières (FP&A).
Cité dans le texte, le CEO de Kleos Andy Bowyer se dit convaincu que la solide expérience en matière de finances et d’opérations commerciales d’Alan Khalili sera « d’une grande valeur pour le prochain chapitre de la croissance de Kleos ».
Pour rappel, les satellites de Kleos détectent et géolocalisent les signaux de radiofréquence afin d’améliorer la détection des activités illégales et cachées telles que la piraterie, le trafic de drogue et de personnes, la pêche illégale et les défis frontaliers. Ses données de géolocalisation indépendantes complètent les ensembles de données existants et améliorent les capacités de renseignement, de surveillance et de reconnaissance (ISR) des gouvernements et des entités commerciales.