CSSF : entité non reconnue

La Commission de surveillance du secteur financier (CSSF) a indiqué dans un communiqué qu’une entité appelée Finamore Capital S.A , qui prétend être installée à Luxembourg-Ville et proposer des services de gestion de fortunes et de gestion de fonds d’investissement, n’est ni autorisée, ni régulée par la CSSF. Elle ne dispose pas non plus d’un agrément pour la prestation de services financiers « au ou à partir du Luxembourg ».

CSSF (suite) : autorité inconnue

Décidément, la CSSF avait du pain sur la planche ce mardi. Dans un autre communiqué, elle précise que le site internet www.fsclux.lu qui se présente comme une autorité de régulation luxembourgeoise du secteur financier n’existe pas.

Espace: Spire Global perd de l’argent au Luxembourg

Dans une question parlementaire, le député CSV Laurent Mosar dit que la filiale luxembourgeoise de Spire Global, une firme spécialisée dans les satellites destinés à la météorologie, a connu une perte de plus de 7 millions d’euros en 2018 pour son premier exercice. Dans sa réponse, le ministre de l’Économie Étienne Schneider a dit qu’il n’appartenait pas au ministère de l’Économie de  » commenter les comptes publiés d’une entreprise ».  » Il ajoute : « d’une manière générale, on peut néanmoins souligner que les start-ups enregistrent souvent des résultats négatifs lors des phases d’amorçage et d’expansion. La réalisation de pertes lors de cette période n’est donc pas un indicateur fiable permettant de conclure à un développement favorable de la société ».
Paiements : Payconiq reçoit sa licence

C’est inédit. La fintech Payconiq a reçu ce mardi la toute première licence de « service d’initiation de paiement » du Luxembourg. Considéré comme un prestataire de service de paiement, la société permet aux utilisateurs de payer leurs achats avec leur smartphone à partir de leur compte bancaire.

Finances : Pas touche à l’impôt de solidarité

A la question parlementaire de la députée CSV Diane Adehm sur l’impôt de solidarité, le ministre des Finances Pierre Gramegna a répondu : »il ne semble guère opportun d’envisager l’heure actuelle un ajustement ponctuel d’un impôt isolé alors que le minstère des Finances procède à la préparation d’une réforme fiscale plus générale ». Il rappelle que l’impôt de solidarité vient alimenter le fonds pour l’emploi.